La nouvelle boucherie du Médoc est ouverte…

Ouverture Boucherie Médoc

Aboutissement de plusieurs années d’efforts, de travail et de persévérance, la nouvelle Boucherie du Médoc a ouvert ses portes le mardi 13 mai 2014 sur la zone Cazeau du Prat au 1A rue de la Rège en bordure de la RD 1215 sur la commune de Gaillan Médoc.

Une magnifique réalisation de près de 300 m2. Elle inclut le magasin de vente  120 m2 environ, le laboratoire de découpe, une chambre froide carcasses, une chambre froide viandes découpées, une chambre froide déchets, le local plonge, un laboratoire charcuterie froide, un labo charcuterie chaude et plats cuisinés, vestiaires et sanitaires et une salle de repos avec kitchenette et bureau. Un système de rails s’adaptant sur le camion de livraison permet la manutention des carcasses et des viandes sans aucune pénibilité. Des grandes baies vitrées permettront à la clientèle de voir les carcasses stockées en chambre froide et le travail des bouchers dans le laboratoire en toute transparence.

Un labo moderne pour Olivier et Alain

Stéphane : des Vosges à la Gironde pour une charcuterie de terroir

Un garçon souriant…

Une imposante vitrine de 16 mètres de long permet de présenter les viandes à la clientèle. Outre les viandes de qualité habituelles des Eleveurs Girondins (Bœuf sous Signature Gironde, Agneau de Pauillac, Veau de lait…), la boucherie distribuera d’autres produits locaux notamment toute une gamme de volailles produites en Médoc. Autres nouveautés par rapport à l’actuelle Boucherie, la fabrication de charcuterie et de plats cuisinés maison…

Un étal magnifique

« C’est la viande de chez nous… »

L’équipe de François BROCHARD, responsable du magasin, s’est étoffée avec l’arrivée d’un nouveau Boucher et d’une caissière-vendeuse pour un total aujourd’hui de 7 personnes. Une embauche supplémentaire pourrait être réalisée rapidement selon le développement de l’activité.

Formation sur le logiciel de caisse pour les bouchers et le staff administratif du GEG

Tous à l’écoute

Typhanie et Béatrice : « Bon alors on résume »

Sur le site de la rue de la Rège, trois autres locaux (deux de 120 m2 et un de 90 m2) devraient voir prochainement l’installation de nouveaux commerces. Les Eleveurs Girondins souhaitent installer sur la zone un pôle de métiers de bouche axé sur la valorisation des produits de terroir et les fabrications artisanales.

Un grand parking de plus de 30 places permet à la clientèle d’accéder très facilement aux commerces.

Le parking n’a pas désempli

Dès les premières heures, ce mardi 13 mai, le nombreux public a investi les nouvelles installations des Eleveurs Girondins et le magasin n’a pas désempli. Le service s’est fait avec assez de fluidité malgré les quelques réglages nécessaires pour l’adaptation au nouvel environnement. Ainsi pour cette 1ère journée de début de semaine, habituellement assez calme, près de 150 clients ont franchi les portes de notre nouvelle boucherie.

François et Thierry déjà à fond…

Affluence des clients dés les premières heures

La concentration du chef

Thierry au service

Un démarrage très encourageant, même si le « phénomène de curiosité » est à prendre en compte, qui laisse augurer de fabuleuses perspectives de développement.

Un boucher et des clients heureux

 

Le samedi 17 mai prochain, les Eleveurs Girondins animeront une journée découverte sur le site de la nouvelle Boucherie du Médoc à partir de 10h30 mn :

Exposition par les Eleveurs du Médoc, de bovins de race Blonde d’Aquitaine et Limousine (qui feront une première apparition avant le grand show à la foire de Bordeaux la semaine suivante), et de brebis avec leurs agneaux de Pauillac.

Dégustation des viandes de qualité et des produits maison des Eleveurs Girondins

- Toute la journée, remise exceptionnelle de – 10 % sur tous les produits du magasin.

A noter que samedi, le magasin sera ouvert sans interruption de 7 heures à 19 h30 mn.

Tous les lecteurs de cette information sont cordialement  invités à venir partager ce moment de découverte et de convivialité avec les Eleveurs Girondins.

 

Lire l’article de Sud-Ouest

Séparateur