C’est effectivement devenu une tradition incontournable, chaque samedi du week-end de Pâques, les Eleveurs Girondins investissent le centre-ville de Mérignac avec vaches, brebis et Agneaux de Pauillac… Une animation qui conjugue la festivité pascale à l’anniversaire de l’ouverture de la Boucherie de la Métropole. Et c’était déjà le 6ème anniversaire de l’arrivée du Groupement des Eleveurs Girondins sur la Métropole Bordelaise, dans le centre-ville de la troisième ville de l’ancienne Aquitaine…
Un bilan mitigé, « sans euphorie » comme le titre le journal Sud-Ouest dans son édition du 30 mars (lire par ailleurs) et qui n’est pas, il faut bien le reconnaitre, à la hauteur des attentes initiales du Groupement (absence de parking, difficultés d’accès, travaux permanents…).
Mais la qualité de l’enseigne et la satisfaction des consommateurs, confirmées par une fréquentation importante sur certaines journées festives (plus de 250 clients ce samedi de Pâques et une affluence de folie pour la dernière semaine de Noël), conduisent les Eleveurs Girondins à persévérer.
Et puis il y a l’espoir avec la prévision de mise en service de l’ilôt commercial n°2 pour fin 2019, permettant de créer une dynamique nouvelle, avec un élargissement de l’offre et aussi la fin des travaux permanents qui « pourrissent » l’accès et la circulation en centre-ville depuis plusieurs années.
Donc, pour ce samedi 31 mars il a fallu tout d’abord passer entre les gouttes, mais après des pluies diluviennes rencontrées sur la route, l’arrivée sur le Marché de Mérignac vers 10 heures, a été accompagnée de timides rayons de soleil. Une accalmie qui comme un signe a duré jusqu’à un peu plus de 13 heures.
Cédric PEREZ avec ses brebis et ses agneaux de Pauillac tout droit venus du Médoc, Francis TREJAUT avec ses Vaches limousines et Gilles POUCHET avec ses Blondes d’Aquitaine ont ainsi très vite occupé l’espace.
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Une rencontre chaleureuse avec le grand public, même si pour certains réfractaires (heureusement isolés, mais bien « radicalisés »…) le débat sur la consommation de viande et sur l’élevage en général demeure stérile et inutile…
Pour tous les autres, les dégustations de poitrines d’agneaux grillées ont ravies les papilles des visiteurs qui se sont amassés tout au long de la matinée devant le stand du GEG animé par Elisabeth et Virginie…
Une belle opération de communication et une journée une fois de plus très réussie.
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Article Sud-Ouest Mérignac du 30 mars 2018
